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La classe internationale

Autant des fois, quand je croise des mémés dans la rue qui ne sont pas très bien fagotées, j’arrive à leur trouver des excuses.

Mais alors là, vraiment, je n’ai aucune pitié ! Qu’on ne vienne pas me parler de goûts qui sont dans la nature, de fringues plus ou moins confortables ou encore d’une autre époque.

Non parce que y’a des limites quand même, bordel !

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Je ne sais pas ce qui est le mieux : les mis-bas en résille, le chapeau qui n’est pas à sa taille, ou peut-être la réflexion inexistante sur l’assemblage des couleurs.

En tout cas, tu verrais ma mémé à moi. Elle a 91 ans, une retraite de 500 € par mois, elle porte des blouses certes, mais elle a quand même un autre look hein !

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